ARTICLES PRESSE
Encore un bel article paru dans la gazette de Villeneuve sur Yonne !
Bien choisir son gilet de sauvetage
Un article très intéressant trouvé dans "Bateaux.com, à lire :
À quoi sert vraiment le hale-bas de bôme ?
Que l'on navigue en croisière ou en régate, le hale-bas est un réglage de grand-voile parfois mal compris. Pour tous ceux qui se demandent comment utiliser correctement le hale-bas, Bateaux.com vous donne les clés.
Charly FernbachPublié le 02-01-2024!
Le hale-bas est en général un palan fixé entre le pied de mât et la bôme. Sa longueur variable détermine jusqu'à quelle altitude la bôme peut s'élever. C'est donc le hale-bas qui maintient la hauteur de bôme lorsqu'on choque l'écoute de grand-voile. Au près, l'écoute de grand-voile ne commence à abaisser la bôme qu'au moment où elle se trouve au-dessus du chariot de grand voile.
Pourquoi utiliser le hale-bas ?
Le hale-bas, avec l'écoute de grand-voile, est un des deux moyens de contrôler la hauteur de bôme, ce qui détermine le vrillage.
Si vous n'utilisez pas le hale-bas (exception faite du petit temps), en choquant l'écoute, la bôme se lèvera et ouvrira largement la chute en évacuant toute la puissance par le haut de la voile. C'est idéal lorsque le bateau gîte excessivement et devient trop ardent, mais ce n'est pas l'effet recherché quand on a quand même besoin de puissance.
Ne pas exploiter le hale-bas de bôme limite également la capacité à pouvoir choquer. Si le haut de la GV est très vrillé, il appuiera rapidement sur les haubans, empêchant de choquer la bôme autant qu'on le souhaite, sous peine d'avoir tout le bas de la voile qui se met à faseyer. Mais si le hale-bas est assez tendu, on retardera le moment où le haut de la voile "s'enroule" autour des haubans. Ainsi la tension de hale-bas permet une plus grande amplitude de réglage.
© Charly Fernbach
Comment utiliser le hale-bas ?
On va commencer par border la grand-voile avec l'écoute puis on ajuste le vrillage de la chute avec le hale-bas. Il faut le tendre de manière à avoir la latte supérieure plus ou moins parallèle à la bôme. S'il est trop bordé, le penon du haut s'effacera derrière la GV. Pour obtenir le bon réglage, il suffira alors de choquer le hale-bas jusqu'à voir réapparaître le penon.
Le hale-bas est-il indispensable sur tous les bateaux ?
Il existe cependant quelques exceptions en ce qui concerne l'utilisation du hale-bas. Elles concernent les multicoques et certains monocoques très larges. Ces bateaux possèdent un rail de grand-voile particulièrement long rendant le hale-bas moins nécessaire. En effet, avec ce type de configuration, choquer le chariot permet de réguler convenablement la puissance en jouant sur l'incidence de la voile, tout en conservant la tension d'écoute.
© Sanya57
Cependant, sur ces bateaux, les haubans sont souvent ancrés bien en arrière du mât, ce qui empêche de choquer largement l'écoute de grand-voile. Un hale-bas est donc toujours utile, car il permet de choquer un maximum la bôme avant que le gréement ne devienne un problème. C'est pourquoi les bateaux très performants disposent presque tous d'un hale-bas de bôme.
À quoi sert un hale-bas rigide ?
Les hale-bas rigides permettent de relever la bôme mécaniquement. Pour les régatiers, c'est particulièrement intéressant dans le petit temps, car le poids de la bôme peut tendre la chute alors qu'on aimerait vriller la voile. En outre, si le bateau n'est équipé ni de lazy jack, ni de balancine, le hale-bas soutiendra la bôme durant la prise de ris et le pliage de la voile.
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Article paru dans le magazine "Bateaux.com
Quête du mât :
Pourquoi incline-t-on le mât d'un voilier en avant ou en arrière ?
Quête du mat, de l'inversée à la positive, il y en a pour tous les goûts
La quête, angle que fait l'axe d'un mât par rapport à la verticale, n'est pas le résultat d'un simple hasard. Il est le plus souvent dicté par des contraintes techniques et a un rôle essentiel dans le comportement du bateau en navigation.
Dominique MontesinosPublié le 05-02-2024
Un mât pas toujours vertical
En observant les voiliers depuis le quai, on constate vite que les mâts des bateaux ne sont pas toujours verticaux. Ils forment un angle par rapport à la verticale, appelé quête, qui est soit vers l'arrière, le plus souvent lorsque la quête est dite positive et plus rarement vers l'avant dans le cas d'une quête négative.
Il existe, bien entendu, un certain nombre de bateaux dont le mât est incliné en arrière de plusieurs degrés pour des raisons purement esthétiques (ou de mode). Cependant, des considérations structurelles sont souvent à l'origine d'une quête importante.
Tout commence par la conception de la structure
Quand on conçoit un bateau, on lui prévoit une ossature afin d'obtenir une coque homogène et solide. Ce qui signifie qu'il y a des endroits qui ne servent principalement qu'à l'étanchéité et d'autres qui ont un rôle structurel plus important. C'est le cas de la zone qui reçoit le pied de mât, ainsi que de celles qui accueillent les appendices : quille, dérive, foil, safran... Elles sont renforcées pour reprendre ces efforts.
Equilibre entre centre de carène et de voilure
En fonction de ses appendices et de ses formes, la carène d'un bateau possède un centre de dérive. Pour le bon équilibre du navire sous voiles, il y a une relation à établir entre les positions respectives de ce centre de dérive et du centre de poussée vélique (qui est la résultante de l'action du vent sur les voiles). Selon la distance longitudinale entre ces points, le comportement à la barre sera différent. La quête, en déplaçant ces surfaces a un rôle essentiel dans ce comportement.
Voilier ardent ou mou
On dit d'un voilier qu'il est ardent lorsqu'il a une tendance naturelle à monter au vent lorsqu'on lache la barre. Un bateau mou fait exactement l'inverse, il tombe sous le vent si on ne pousse pas la barre. Un bon voilier, qui remonte correctement au vent doit être un peu ardent.
Quête nulle, Voilier neutre. Le centre de voilure A est à la verticale du centre de dérive B
Quête positive, le voilier est ardent, le centre de voilure A est en arrière du centre de dérive B
Quête négative, le voilier est mou, le centre de voilure A est en avant du centre de dérive B
Bateau de régate avec quête optimisée
Ajuster structure du bateau et positionnement des surfaces de voilure et de dérive
Les zones structurelles fortement renforcées pèsent plus lourd que du "simple bordé", alors il est essentiel de les positionner judicieusement pour un bon équilibre des masses. De plus, elles peuvent occuper de la place au détriment d'autres espaces qui conditionnent le confort à bord ou la capacité à recevoir des marchandises.
Un des cas les plus marquants est justement celui du mât. Si on n'a pas pu, pour des questions structurelles le placer où il aurait fallu, il est possible de contourner le problème en l'installant un peu plus en avant ou en arrière. C'est alors qu'il faudra jouer sur la quête pour replacer le centre de voilure en concordance avec le centre de dérive, légèrement en arrière de ce dernier.
Si le mât est reculé, on ajoutera une quête négative pour avancer le centre de voilure. S'il est avancé, on ajoutera une quête positive pour reculer le centre de voilure.
Peu de quête sur les bateaux actuels
Utiliser la quête pour régler le gréement
Dans des temps un peu reculés (mais pas si lointains), les constructeurs de voiliers ne disposaient pas des moyens techniques actuels pour régler voiles et gréement. Alors, on donnait de la quête aux mâts pour faciliter la tension de l'étai aux allures proches du vent. Lorsque les espars étaient lourds (en bois massif), ça avait un sens.
Alors que donner de la quête à un mât carbone en vue d'améliorer la tension de l'étai serait un peu farfelu...
Actuellement, la tendance serait de donner aux mâts une verticalité certes un peu austère, mais raisonnablement efficace. Ceci tout simplement pour aller chercher du vent frais le plus haut possible. L'amateur de croisière fait volontiers fi des avantages maigrichons obtenus en "travaillant" la quête de son espar principal.
Optimiser son voilier en réglant la quête
On peut néanmoins se servir de la quête pour régler l'équilibre sous voiles de tout bateau lorsque c'est nécessaire. Sur un bateau mou, on augmentera la quête vers l'arrière afin de le rendre un peu meilleur au près. Car il est bien plus efficace de "retenir", à la barre, un voilier qui ne veut que monter dans le vent plutôt de de forcer un bourricot qui ne sait qu'abattre... Surtout lorsque l'on est au louvoyage.
Deltaville 2022: l'amateur de croisière familiale se soucie peu de la quête... et souvent, il a bien raison.
Cette pratique subtile, mais fort acrobatique, reste largement en vigueur auprès des régatiers. Ils y trouvent, pour les meilleurs, un moyen de grappiller quelques centièmes de nœuds au près. Et ça leur permet aussi de retarder l'inéluctable départ au lof (ou à l'abattée) sous spi dans la brise.
PUBLIÉ LE 13-10-2022 | 8470 VUES
Rien n'est plus important que la sécurité du marin, du plaisancier ou du navigateur lorsqu’il navigue. Les experts de Picksea vous proposent de découvrir tous les critères pour choisir les gilets et brassières de sauvetage les plus adaptés à vos navigations et à votre pratique nautique. La première chose à savoir est qu'il est de la responsabilité du chef de bord de s'assurer que tous les passagers disposent à bord d'un gilet de sauvetage aux normes, en état de fonctionner et adaptés à leurs morphologies.
Les normes en vigueur
En ce qui concerne les normes, tous les gilets de sauvetage doivent être homologués et avoir une étiquette de conformité cousue sur la brassière : il faut en particulier vérifier que l'étiquette porte un n° de conformité type EN xxx ou ISO et/ou un logo CE. Cela garantit que le gilet a été conçu et fabriqué suivant les normes européennes et/ou internationales en vigueur et qu'il a été approuvé par les autorités compétentes.
On peut noter par ailleurs que les gilets marqués SOLAS (logo "barre à roue"), qui sont normalement prévus pour la navigation professionnelle, sont valables en navigation de plaisance.
Il existe 4 niveaux d’homologation permettant de mesurer l’efficacité d’un gilet en Europe :
50 Newtons 100 Newtons 150 Newtons ou 275 Newtons
ISO 12402-5 ISO 12402-4 ISO 12402-3 ISO 12402-2
ou EN 393 ou EN 395 ou EN 396 ou EN 399
L’un des principaux critères pour cette homologation est l’efficacité de la flottabilité des gilets. Ainsi, un gilet estampillé 50 Newtons signifie qu’il aide à la flottabilité à hauteur de 50 Newtons en fonction du poids du porteur indiqué sur le gilet.
Plus un gilet possède un indice de flottabilité élevé, plus il est efficace
En dessous de 100 N = Gilet d’aide à la flottabilité.
Au dessus ou égal à 100 N = Gilet de sauvetage.
Norme |
EN ISO 12402-5 |
EN ISO 12402-4 |
EN ISO 12402-3 |
EN ISO 12402-2 |
Indice de flottabilité |
50 newtons |
100 newtons |
150 newtons |
275 newtons |
Utilisation |
En eau tranquille ou à proximité d’un poste de secours |
En eau protégé ou en navigation côtière |
Navigation hauturière |
Navigation hauturière + navigation en conditions extrêmes. |
Caractéristiques |
N’assure pas le retournement. assure le maintien hors de l’eau des voies respiratoires pour une personne consciente. |
Assure un retournement sur le dos en 10 secondes. Convient à des personnes sans vêtements encombrants |
Assure un retournement sur le dos en 5 secondes. Convient à des personnes équipées au plus d’un ciré. |
Assure un retournement sur le dos en 5 secondes. Convient également à des personnes équipées de vêtements très lourds. |
|
|
Le gilet doit pouvoir maintenir la tête sur les côtés et sur l’arrière, y compris quand le porteur est inconscient. |
Les critères pour choisir un gilet de sauvetage
Par activité
Que ce soit pour faire du kayak, de la navigation hauturière ou pour de la pêche professionnelle, les normes sont différentes et la sécurité du porteur nécessite un gilet adapté à l’activité. Plus on s’éloigne des côtes, plus il est important d’en choisir un efficace permettant d’être repérable en cas de chute dans l’eau.
- Navigations, sports et activités nautiques à moins de 2 milles d’un abri : Gilet d'aide à la flottabilité soit 50 Newtons au minimum
- Navigation côtière (jusqu'à 6 milles d'un abri) : 100 N minimum ou 150 N si les gilets sont effectivement portés et qu'ils sont équipés chacun d'un moyen de repérage lumineux.
- Navigation de plaisance à plus de 6 milles d'un abri ou navigation professionnelle avec vêtements mi-lourds : 150 N minimum.
- Navigation de plaisance à plus de 6 milles d'un abri ou navigation professionnelle avec des vêtements lourds et/ou de l’outillage : 275 N minimum.
En fonction du poids et de la taille
Les normes européennes pour évaluer la flottabilité d’un gilet s’appliquent par défaut pour des personnes dont le poids est de 70 kg. L’efficacité d’un gilet change cependant en fonction du poids et de la taille des personnes. Le tableau ci-contre montre les équivalences de flottabilité en fonction de votre poids par rapport à la norme (colonne de gauche).
Indice de flottabilité (newton) / Poids de l’adulte (kg) |
40-50 kg |
50-60 kg |
60-70 kg |
>70 kg |
50 N |
40 |
40 |
45 |
50 |
100 N |
60 |
70 |
85 |
100 |
150 N |
90 |
110 |
130 |
150 |
275 N |
170 |
200 |
230 |
275 |
Par exemple, une personne de 55 kg qui porte du 110 N à une équivalence de flottabilité de 150N.
Notez également que la taille ou le tour de taille est un point important à regarder sur l'étiquette de conformité de la brassière car il peut varier sur un même modèle.
Pour les enfants de moins de 30 kg, les modèles doivent impérativement être de la catégorie 100 Newtons. Elle permet de les protéger en les mettant sur le dos même s’ils sont inconscients ou qu’ils ne savent pas nager.
En fonction des caractéristiques
Pour se protéger une fois en mer, les gilets de sauvetage se doivent d’être pratiques et confortables. Il existe 3 types de gilets très différents. Chacun d’entre eux se distinguent par des caractéristiques spéciales comme le déclenchement automatique du gonflage, la liberté de mouvement laissée au porteur.
Les gilets gonflables
Ces gilets se gonflent automatiquement mais ils peuvent se déclencher soit manuellement soit de façon automatique ou avec un système hydrostatique. Il sont plutôt utilisés pour la navigation de plaisance côtière, hauturière ou professionnelle.
Les gilets gonflables automatiques dits à pastille de sel, sont des gilets qui se gonflent dès la chute du porteur à l'eau. Le dispositif à pastille de sel contenu dans le gilet fond instantanément au contact de l'eau libérant ainsi le percuteur de la cartouche pour un gonflage immédiat. La pastille n'est sensible qu'à l'immersion totale et ne déclenchera pas de gonflage intempestif lors de vos manœuvres sous les embruns ou la pluie ou lors du rinçage du matériel (à condition de ne pas faire pénétrer l'eau dans le mécanisme). Un stockage au sec est cependant vivement conseillé.
Les gilets gonflables hydrostatiques dits Hammar, sont des gilets qui se gonflent dès la chute du porteur à l'eau. Le dispositif Hammar sensible à la pression de l'eau lors de l'immersion libére ainsi le percuteur de la cartouche pour un gonflage immédiat. Le système Hammar n'est sensible qu'à une certaine pression d'eau et ne risque aucun gonflage intempestif lorsque le porteur se fait doucher par les embruns ou la pluie ou lors du rinçage abondant du matériel. Ce gilet peut être stocké dans n’importe quelles conditions d'humidité.
Les gilets en mousse
Ceux-ci sont plus adaptés pour les sports nautiques "humides" et pour la navigation côtière. Dans cette catégorie, on trouve les brassières de sauvetage (en général de 100 N) qui disposent d'une flottabilité sur la tête et le ventre afin de permettre le retournement de la personne. On trouve également les gilets d'aide à la flottabilité (en général 50 N) qui n'ont pas de flottabilité sur la tête et n'assure pas de retournement : ces gilets sont plus adaptés pour la pratique des activités nautiques type jet-ski, kite-surf, voile légère, ...
Les accessoires pour gilet de sauvetage
Les gilets de sauvetage peuvent être complétés avec d’autres équipements de sécurité pour assurer un meilleur repérage dans l’eau par exemple. Ainsi, plusieurs objets sont fortement conseillés et d’autres sont obligatoires pour les gilets les plus performants.
- Norme 100 N et + : Sifflet obligatoire / Sangle sous-cutale conseillée
- Norme 150 N et + : Poignée de halage obligatoire
Il existe cependant d’autres objets utiles qui peuvent vous sauver la vie dès que la mer s’agite un peu ou pour vous aider à être repérer. Ainsi, il existe des lampes flash qui permettent d’être vu même dans l’obscurité, des masques anti-embruns pour vous protéger le visage une fois dans l'eau et enfin des PLB (personal locator beacon) qui sont des balises de détresse individuelles qui vous permettent d’être détecté (à utiliser en dernier recours).
Rappel réglementaires sur les caractéristiques des équipements individuels de flottabilité (Article 240-2.16 de la Division 240) :
I. Les équipements individuels de flottabilité (EIF) à bord des navires, embarcations et engins de plaisance sont adaptés à la morphologie des personnes embarquées. Lorsqu’ils ne sont pas portés, ils sont rangés de manière à pouvoir être accessibles rapidement et aisément.
II. Seuls peuvent être embarqués, en fonction de leurs caractéristiques de flottabilité :
- les brassières de sauvetage approuvées conformément à la division 311 du présent règlement et marquées “barre à roue” ;
- les équipements individuels de flottabilité conformes aux dispositions pertinentes du code du sport et marqués “CE”.
Source LegiFrance : Arrêté du 6 mai 2019 remplaçant l’arrêté du 23 novembre 1987 relatif à la sécurité des navires (division 240)
Nos conseils
- Les gilets de sauvetage ont une durée de vie limitée, les stocker de préférence dans un endroit sec et à l’abri de la lumière.
- Tout comme les vestes de quart ou les combinaisons néoprènes, rincez systématiquement à l’eau douce après utilisation. Le gilet gagnera en durée de vie et ne perdra pas ses qualités.
- Toujours vérifier son gilet avant utilisation, tel sur un casque de moto, la moindre détérioration peut se révéler fatale. Ne pas hésiter à se le faire vérifier par une autre personne.
Bilan club 2023
Bilan rapide de l’année 2023 au club
Pour les personnes qui n’ont pas pu assister à notre AG, voici quelques-uns de nos résultats pour l’année 2023 :
Notre club a obtenu le trophée « Coup de cœur » de la Fédération Française de voile pour ses résultats, son animation et ses activités. (Remise du trophée le 23 mars au siège de la Fédération à Paris)
L’équipage Villeneuviens André Touyrac et Stéphane Ragot champion de ligue Bourgogne Franche Comté en série double.
Notre club second derrière Dijon dans le top 10 des 20 clubs de ligue dans la catégorie « école de sport et de loisirs »
Notre club second derrière Dijon dans le top 10 des 20 clubs ayant la meilleure progression.
Sur 7 503 coureurs classés, 25 coureurs du club
272 enfants reçus durant la saison
A l’école de sport : 22 séances d’entraînement pour 102 stagiaires
A l’école de voile : 40 séances pour 600 heures de navigation
4 journées féminines
95 baptêmes et initiations
17 régates courues
Nous vous attendons nombreux, tous nos bénévoles sont prêts pour 2024 !